tag:blogger.com,1999:blog-8954434.post2844951402825154516..comments2023-11-09T11:42:05.649+01:00Comments on Au bout de la corde: Le château des étoiles - Alex AliceLe penduhttp://www.blogger.com/profile/02141846570531362015noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-8954434.post-3475551491719794222015-03-14T22:30:09.604+01:002015-03-14T22:30:09.604+01:00Alors en effet, ça n'a rien d'industriel (...Alors en effet, ça n'a rien d'industriel (ce n'est pas l'adaptation BD de Lara Croft). Je jugeais sans avoir regardé...<br /><br />Difficile toutefois d'être convaincu par cette BD. On y voit un effort manifeste, la volonté de faire quelque chose de plus sophistiqué, de plus "auteur", mais AA n'y parvient pas. Le volume glisse des mains, au pire après 20 pages (chez mon aimée), au mieux dans les dernières avec l'ennuyeuse poursuite.<br /><br />J'ai essayé de comprendre pourquoi, sans pouvoir mettre le doigt dessus. J'ai bien vu la volonté de ne pas faire la même grille de cases plus d'une fois (comme dans les vieux Druillet, ou dans un certains Tardi d'il y a longtemps), sans être impressionné, tellement un article de critique BD d'il y a quelques années en décomposé le principe. Même, par instants, je me suis demandé si cette variation formelle n'était pas une des raisons de la fatigue de lecture. La multiplicité "d'encarts" [les petits zooms avec la tête d'un personnage] par exemple. <br /><br />En fait, on sent cette volonté formelle qui semble plus importante que le fond. Pour le dire autrement, on a parfois l'impression que le narratif rentre au forceps dans la contrainte graphique. Et donc on perd le fil.<br /><br />Sur cette histoire, je suis également embêté par la toile de fond Bavière-Prusse. C'est d'une part un contexte original et sans doute jamais utilisé en BD. Et puis au moins l'aspect "documentaire" n'encombre pas le texte. Mais d'autre part il y a une bête caricature bons/méchants qui rend le tout terriblement enfantin; tout en voulant faire sophistiqué dans les aspects techniques, les plans de machines, la dilatation de l'air en ascension... De nouveau, on reste sans fil conducteur, le volume glisse des mains.le lecteurhttp://www.mapiledelivres.orgnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8954434.post-52956524895917548932014-10-09T20:18:52.389+02:002014-10-09T20:18:52.389+02:00Je comprends qu'on puisse ne pas apprécier ce ...Je comprends qu'on puisse ne pas apprécier ce que fait Alice, parce qu'il vise le grand public, mais son travail n'a rien d'industriel. Je te trouve injuste sur ce coup-là (en même temps, ça fait partie de la critique :-))Le penduhttps://www.blogger.com/profile/02141846570531362015noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8954434.post-63871646285716143362014-10-09T20:16:38.378+02:002014-10-09T20:16:38.378+02:00Bon... j'irai alors regarder, car tout ce qui ...Bon... j'irai alors regarder, car tout ce qui précède chez cet auteur est industriel...le lecteurhttp://www.mapiledelivres.orgnoreply@blogger.com