On avait aimé l’empire des sens et aussi tabou (mais c’était
il y a longtemps). Dans les plaisirs…
on a un puceau coincé, amoureux d’un fantasme (jeune fille pure à grands yeux
mais dotée d’appétits charnels) qui se retrouve en possession d’un gros paquet
de sous et qui va tout dépenser en un an pour explorer toutes les relations
possibles avec les femmes.
Voici en gros le plan des sections du film : d’abord
une fille à yakuzas, puis une femme japonaise dévouée en kimono, une femme moderne
sortie d’un film de Marguerite Duras et une prostituée muette.
Rien de tout cela n’est très satisfaisant, ni pour lui, ni
pour le spectateur. La photo est assez moche, le héros veule, ça parle autant
que dans un film français, et les années 70, même au Japon, c’était vraiment
pas ça. Il y a juste un moment rigolo où trois yakuzas débarquent dans
l’appartement du héros. J’aurais aimé que Kitano soit parmi eux et qu’il lui
casse les genoux. Bang.
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