Dans ce film, on trouve : des plans séquences de dix kilomètres de long, des acteurs capricieux, Michael Keaton en ex-ex-ex Batman, des New-Yorkais qui parlent vite vite vite, des répétitions théâtrales calamiteuses, un acteur qui ne bande que face au public, des vanités froissées sur Broadway, des chocs de vanités, des vannes percutantes, 25 000 vues sur Twitter de Michael Keaton en slip, Edward Norton en slip (j'adore cet acteur), de la télékinésie.
L'ensemble est assez bien vu et souvent drôle.
On aurait aimé que l’ambiguïté sur la relations du monde intérieur du héros avec le monde extérieur qui fait mal fût maintenue jusqu'au bout. Ce n'est pas grave.
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