On retrouve Johnny Maxwell et ses potes, Bloblotte (le gros), Pas d’man (le Noir) et Bigmac (le skinhead). Alors qu’ils traversent le cimetière de Blackbury, certains morts s’adressent à Johnny, qui fait leur connaissance et apprend peu après que le cimetière va être rasé par une société de construction de bureaux.
Malgré plusieurs bonnes idées et une belle galerie de personnages, cette « suite » est ratée: le récit est souvent poussif, la grâce qui animait le premier récit de la série est absente, le roman n’a pas la même cohérence. Plusieurs thèmes sont oubliés en chemin (les Copains de Blackbury), le discours politique n’est pas très tenu et les méchants manquent de virulence.
Ca se lit sans déplaisir, Pratchett oblige, certains passages sont très marrants et d’autres très bien vus, mais le roman tient de la collection de scènes plus ou moins gags et manque de tenue.
On lira quand même le troisième.
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